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L’aspect psychologique est un facteur très important de la prise de poids.

La silhouette d’une personne est façonnée par son mode de vie, le milieu dans lequel elle a grandi et par les traumatismes qu’elle a vécus.

Il y a un lien entre le poids et les expériences traumatisantes vécues car la personne va compenser les troubles dans son psychisme par de la nourriture. On parle à ce moment-là de nourriture émotionnelle.

« Elles mangent leurs émotions »

Ainsi le comportement alimentaire d’une personne obèse n’est plus un choix mais une conséquence d’évènements de sa vie.

Le rejet, l’exclusion, sont des éléments aggravants, c’est ce que l’on nomme la grossophobie.

Cette grossophobie intervient :

Dès le plus jeune âge à l’école :

moqueries, mise à l’écart lors d’activités

sportives, notamment.

Le milieu familial : la pression des parents pour perdre

du poids pour être comme tout le monde.

Le milieu professionnel :

La discrimination professionnelle peut-être très nette,

surtout lorsqu’il s’agit de métiers en relation avec le public.

Cette discrimination est beaucoup plus marquée chez

les femmes que chez les hommes.

Le milieu médical : Un médecin qui dès l’arrivée du malade va lui annoncer qu’il doit perdre du poids sans même savoir pourquoi la personne vient le consulter.

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